Le mercredi 25 octobre 2017 à 18h30 à l'amphithéâtre culturel de l'Université Lumière Lyon 2, campus Porte des Alpes
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Plus d’informations ici
- Texte : Wajdi Mouawad
- Mise en scène : Clément Bigot
- Interprétation : Rémy Ledentu
- Durée : 1h40
"Un jour, ma mère s’est mise à avoir un visage autre. C’est peut-être ça le début de mon histoire".
Un coup de téléphone qui résonne comme un coup de feu, donnant le départ d’une nuit-marathon. Nuit durant laquelle Wahab va traverser la ville pour rejoindre sa mère qui se meurt à l’hôpital.
L’histoire de Wahab place le public comme le/la confident.e de son récit, accompagnant l’urgence d’une acceptation le conduisant à l’âge adulte. La pièce se construit à la manière d’un conte, narrant le double voyage poétique de Wahab : celui intérieur, entre émotions et souvenirs, traumatismes et libération.
Mais également ce voyage dans une ville balayée par la tempête, redoutant la ligne d’arrivée, chambre d’hôpital sordide, antichambre funéraire d’une mère au visage oublié.
Un obus dans le cœur de Wajdi Mouawad, nous plonge dans un récit initiatique, épopée contemporaine d’un jeune homme en transition. Le personnage d’Abdelwahab nous transporte dans son cheminement, tant intérieur qu’extérieur. Le comédien, à l’instar du personnage se découvre lui-même dans un récit rythmé par des rencontres, des espaces, des univers empiriques.
Dans cette adaptation de son roman Visage retrouvé, Mouawad conte, depuis le cœur d’un Wahab adulescent, l’immense voyage intérieur qui accompagne un chemin parsemé de rencontres jusqu’à l’hôpital dans lequel se meurt sa mère.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
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- Texte : Wajdi Mouawad
- Mise en scène : Clément Bigot
- Interprétation : Rémy Ledentu
- Durée : 1h40
"Un jour, ma mère s’est mise à avoir un visage autre. C’est peut-être ça le début de mon histoire".
Un coup de téléphone qui résonne comme un coup de feu, donnant le départ d’une nuit-marathon. Nuit durant laquelle Wahab va traverser la ville pour rejoindre sa mère qui se meurt à l’hôpital.
L’histoire de Wahab place le public comme le/la confident.e de son récit, accompagnant l’urgence d’une acceptation le conduisant à l’âge adulte. La pièce se construit à la manière d’un conte, narrant le double voyage poétique de Wahab : celui intérieur, entre émotions et souvenirs, traumatismes et libération.
Mais également ce voyage dans une ville balayée par la tempête, redoutant la ligne d’arrivée, chambre d’hôpital sordide, antichambre funéraire d’une mère au visage oublié.
Un obus dans le cœur de Wajdi Mouawad, nous plonge dans un récit initiatique, épopée contemporaine d’un jeune homme en transition. Le personnage d’Abdelwahab nous transporte dans son cheminement, tant intérieur qu’extérieur. Le comédien, à l’instar du personnage se découvre lui-même dans un récit rythmé par des rencontres, des espaces, des univers empiriques.
Dans cette adaptation de son roman Visage retrouvé, Mouawad conte, depuis le cœur d’un Wahab adulescent, l’immense voyage intérieur qui accompagne un chemin parsemé de rencontres jusqu’à l’hôpital dans lequel se meurt sa mère.