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La petite biennale des possiblesComment donner à voir la poésie de l’infini paysage urbain: la Guillotière revisitée !
Pendant plus d'une semaine, laartack invite des artistes d’horizons différents à investir le quartier de la Guillotière pour donner à voir la poésie de l’infini paysage urbain.
Au fil du mois de mars, plus de 20 plasticiens, explorateurs graphiques et artistes numériques installent leurs univers dans les lieux quotidiens du territoire : cafés, boucheries, garages, ateliers, Salons de coiffure, hôpital…
A partir des réalités d’un quartier au carrefour des identités et des patrimoines, tous interrogent les liens qui unissent l’habitant à son environnement, ils questionnent la mémoire et l’expérience de la ville. De ces laboratoires artistiques naît une poésie protéiforme, qui se crée dans et avec la ville.
Un quartier en ébullitions, rythmé par des temps forts et des rendez-vous, ou l'ouverture des portes devient le carburant de nouveaux mouvements de populations. Sept Jours pendant lesquels les lieux communs sont ré-imaginés par la présence permanente d'œuvres, défendues par les artistes eux mêmes...
Suivez nous, et partez à la découverte du territoire de la Guillotière comme vous ne l'avez jamais vu, à l'occasion d'une semaine immersive, curieuse et sensible...
impossible de résumer le programme, alors allez le voir
"En gage d'honnêteté et avant toute présentation, Je me dois d'abord vous faire une confidence...
... Vous avouer que relever le défi de l'implantation d'un événement culturel transdisciplinaire, une
« petite biennale » au fort ancrage territorial, relevait primitivement du rêve.
Ce rêve très souvent fait les yeux ouverts n'est pas de ceux qui trempent leurs racines dans la nébuleuse utopie.
Ce rêve, empreint de quotidien, est de ceux qui entretiennent une relation charnelle avec la réalité, qui aiment dévorer les trop étroites limites d'un usage passif de la vie. Il est de ceux qui préfèrent jouer des coudes pour s'installer au centre des conversations.
Ce rêve, trop vivant pour se cantonner aux balades nocturnes, est de ceux qui parviennent à s'offrir l'égoïste luxe de se faire plaquer sur le papier.
De l'état de rêve, naissent ainsi les balbutiements d'un grand projet..."
Charlie Moine, Directeur Artistique.
Mercredi 2 Mars 2011
Laurent Renard
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